Aussi lourds que les fers, aman ! aman !
pèsent les vêtements du deuil
que j'ai porté, monde menteur,
pour un amour défunt.
Aman ! De ce petit que j'avais, et que j'ai perdu,
je me souviens, et je soupire…
Ouvre la terre, monde menteur, que je m'y enfouisse
pour ne plus voir le monde.